(…) On peux-tu dire que je me suis fait mettre dans une fâcheuse position ? J'ai du mordant, qu'il disait ! Ayoye ! Quand il me chuchotait à l'oreille "je te boufferais toute crue" je ne croyais pas que c'était au sens propre du terme. (…) L'amour féroce, on s'en reparlera. En plus, y a le front de boeuf de me dire "Ils sont extra tes restes"
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Grands dieux du ciel bleu, Agrippa!
Cessez cette factice crisette. Vous le savez mieux que personne que personne ne met en doute vos talents d’actrices mélodramatiques, mais, Sainte-bâtoune, cessez de vous faire aller le cœur comme un yoyo. Cela devient étourdissant à la fin...
De plus, que vous vous soyez fait mettre ou pas, ne nous regarde pas. Quant aux petites morsures faites à votre partenaire, vous pourrez nier le tout en prétendant qu’il s’agit là de saintes traces de cilice fortement recherchées par le membre actif de l’Opus Dei, afin de préserver son âme dans un état de sainteté totale pour l’Éternité des siècles à venir.
Et puis, cette histoire de bouffe-là. Il fallait bien être nue pour être bouffée toute crue. Ça s’appelle des préliminaires. Rien de plus normal quoi!
Cependant, y’a quelque chose que je ne comprends pas dans votre histoire… Pourquoi ce front de boeuf dit : ils sont extra tes restes ?
Oxygène
;o)