Toujours est-il que, un beau soir de pleine lune (ô culte oblige) mes parents décidèrent d’accomplir le rite initiatique pro-créatif dans la joie et le respect, j'en suis le résultat patent et manifestement épatant. (…) Ne suis-je pas croquable ? Avouez !
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Je constate, Mademoiselle Agrippa, que vous ne lâchez pas facilement le morceau lorsque vous le tenez entre les dents, vous!
Malgré mon refus clairement exprimé pour la passation d’une soirée à deux z’ou à quatre (à cet égard, j’ai bien senti votre ouverture… d’esprit), au cinéma, vous me relancez en tentant de vous faire connaître sous votre plus beau profil.
Je veux bien avouer que, si votre parure est à l’égal de votre posture, vous avez sûrement fait des ravages avec les kangourous sauteurs sous la pleine lune lors de bains de minuit (serait-ce l’heure où vous êtes le plus présentable?).
Je vous imagine d'abord (en pensées et en images) courant de-ci, de-là, dans les sentiers sentant le musc (et le muscle viril) de la forêt amazonienne.
Je vous imagine encore dans la crue nudité, le corps enrubanné de luxurieux soupirs, ce corps quasi vierge invitant à la procréation de belles créatures sauvages… dont, vous fûtes le fruit descendant de l'arbre (si j’ai bien compris vos péripéties parentales).
Sur ce, je vous laisse et vous souhaite d’autres belles rencontres virtuelles.
Oxygène
;o)
PS: Je ne dis pas non pour une soirée-ciné, mais je ne dis pas oui itou!
PPS: J’ai besoin de « tant », pour réfléchir et regarnir ma bourse (si vous comprenez bien la subliminale invitation à ouvrir votre sacoche…)